Article du 31 août 2023
Article du 25 juin 2024
Douze cyclistes du Locmaria vélo-club (LVC) sont partis à l’assaut du mont Ventoux, dans le Vaucluse, du 16 au 22 juin. Ayant un camp de base dans la ville de Bédoin, ils ont commencé l’ascension par le versant le plus difficile, 22 km de routes sinueuses, avec des dénivelés de 5 à 7 % sur les six premiers kilomètres,puis 10 à 12 % jusqu’au sommet. Ils l’ont ensuite gravi à partir de la ville de Sceau, puis quatre cyclistes l’ont grimpé à partir de Malaucène.
article du 24 juin 2024
Les cyclistes de Locmaria-Plouzané se sont attaqués à l’ascension du Mont Ventoux, dans le Vaucluse, du 16 au 22 juin 2024.
Douze cyclistes du Locmaria vélo club sont partis à l’assaut du mont Ventoux (Vaucluse), du 16 au 22 juin 2024. De leur camp de base, à Bédoin, ils ont commencé l’ascension par le versant le plus difficile, avec 22 km de routes sinueuses et des dénivelés de 5 à 12 % jusqu’au sommet. Ils ont poursuivi avec d’autres ascensions, au départ de Sceau, puis de Malaucène. « D’autres randonnées, à travers le Lubéron, nous ont permis de visiter les gorges de la Nesque, plusieurs localités perchées, dont Gordes, élu plus beau village du monde, sous un beau soleil et plus de 30 degrés certains jours », relate Robert Ogor. Cette dernière randonnée de l’année a été précédée par la semaine FSGT à la Palmyre (Charente-Maritime), en avril, par le Tour de Bretagne FSGT à Erdeven (Morbihan), en mai, et par le week-end vélo à Braspart, le même mois.
Article du 31 août 2023
Un peu mal aux jambes mais heureux d’avoir vécu une telle aventure. Trois Lanvénécois ont pris le départ de la course cycliste Paris-Brest-Paris, 1 219 km, que Paul Bégoc voulait achever en moins de 80 heures, tandis que ses partenaires d’entraînement au Locmaria-Plouzané vélo-club, Charles Rioual et Roger Coatanéa comptaient boucler en 90 heures.
Partis dimanche 20 août au soir, Charles et Roger affrontaient pour la première fois le long parcours de la mythique course quadriennale. Nous nous sommes bien préparés en amont depuis presque deux ans en roulant environ 9 000 km par an et en passant des brevets fédéraux de longues distances », explique Charles. Tous les 80 km, les cyclistes peuvent se restaurer, se doucher, faire une pause, dormir quelques minutes parfois avant de continuer leur chevauchée. Rouler de nuit apporte un stress supplémentaire. On doit être très concentrés tout le temps. C’est une fatigue physique bien sûr mais aussi mentale », continue le plus jeune des trois.
« Plusieurs fois j’ai voulu arrêter »
Paul se présentait pour la deuxième fois sur cette épreuve. Celui qui revient en enfance lorsqu’il enfourche son destrier est parvenu à chaque moment à positiver les embûches qui auraient pu le faire renoncer. En regardant les paysages, tu te changes les idées. Il faut faire un travail sur soi et se dire qu’on est capable d’aller plus loin que ce que l’on pensait », précise-t-il. Plusieurs fois, j’ai voulu arrêter. En arrivant à Brest sous la chaleur, j’ai écrit à ma femme pour lui dire de venir me chercher. Et finalement, dans le message suivant je lui expliquais que je continuais », s’amuse Roger. C’est à mi-course environ que Charles a dû descendre de selle, la faute à une tendinite qui l’a fait souffrir sur des centaines de kilomètres. Je suis extrêmement frustré de ne pas avoir terminé. J’ai l’impression d’avoir trahi la confiance de ma famille. Je leur dois une revanche », confie-t-il, en évoquant déjà la prochaine édition.
article du 29 août 2023
Roger Coatanéa (63 ans et père de Pauline, handballeuse internationale française), Paul Bégoc (70 ans) et Charles Rioual (60 ans), du Locmaria-Plouzané vélo club, ont participé à la 20e édition de la randonnée cycliste Paris-Brest-Paris, qui a débuté le dimanche 20 août 2023 à Rambouillet (Yvelines).
Seuls les deux premiers ont terminé leur périple de 1 219 km, le troisième ayant dû abandonner sur blessure (tendinite talon d’Achille), au 30e km retour. Si certains cyclistes roulent pour la performance, d’autres le font pour l’aventure ou le plaisir, ce qui est le cas des trois compères lanvénécois. « On a préparé cette randonnée depuis deux ans, et passé les brevets qualificatifs obligatoires pour se pré-inscrire. Sur les routes, on pédale de nuit comme de jour, en apprenant beaucoup sur soi-même. Par moment, on a des coups de mou et notre corps nous fait mal, mais, au final, on est ravi d’avoir accompli le trajet », glissent Roger Coatanéa et Paul Bégoc, dont c’est la deuxième participation. Ils ont terminé respectivement en 80 heures 35 min (limite 90 h) et 76 heures 44 min (limite 84 h).
« C’est une super aventure »
Du côté de Charles Rioual, on sent une grosse frustration de ne pas avoir été jusqu’au bout : « Pour moi, un des coins les plus raides était en Centre-Bretagne. Je gueulais tout seul dans la nuit, en me demandant quand est-ce que ça allait s’arrêter ! Et puis ça repartait ! C’est une super aventure, et je me dois de la refaire dans quatre ans, pour moi et mes proches ».